�
Hyperliens et nouvelles - Femmes montr�alaises
Ces femmes qui d�truisent ... les femmes. Les ravages du �bitchage�
pp. 79-81 sur les comit�s truqu�s
23 octobre : ... trop souvent les �accommodements – dits– raisonnables� demand�s pour des raisons religieuses ou culturelles se font au
d�triment des femmes. Au Qu�bec, l’Afeas le r�p�te encore et toujours, c’est
inacceptable!
N�e en 1966, l’Afeas (Association f�minine d’�ducation et d’action sociale) regroupe
13�000 Qu�b�coises int�ress�es � promouvoir les droits des femmes et � am�liorer la soci�t� par l’�ducation et l’action sociale.
15 octobre : Quelle est la dur�e d'un mois?
Font-ils expr�s ou est-ce naturel�???
Montr�al, le 15 octobre 2009 : Encore une aberration
Ne voulant rien envier � l'histoire du droit de vote,
le MOIS de l'histoire des femmes
arrive � Montr�al 17 ans plus tard.
Annonc� au milieu du mois
Il durera 15 JOURS.
Quoi de neuf � l'hombre de la collusion sexiste�?
8 octobre 2008 : 21es Entretiens du Centre Jacques Cartier
On y parle de libert�, de m�dias, de gastronomie, de tourisme, de communaut�s, de religion, d'�galit� des chances, d'environnement...
� Montr�al comme ailleurs, entre les belles paroles et le geste concret,
il y a loin de la coupe aux l�vres
LE SEXISME, �A TOUCHE VRAIMENT TOUT LE MONDE... Vraiment. Les femmes, leurs enfants vivant dans la pauvret�, leurs fr�res et soeurs, leurs parents, leurs amis, les hommes qui les aiment encore ou qui voudraient les aimer mais qui n'arrivent pas � franchir les barrages...
"La situation des femmes au Canada n'a pas progress� selon Statistique Canada, un organisme que l'on ne peut certainement pas accuser d'�tre un groupe f�ministe radical!", souligne Mich�le Asselin. Les gains moyens des femmes qui occupent un emploi sont toujours consid�rablement plus bas que ceux des hommes. Les femmes repr�sentent une fraction disproportionn�e de la population ayant un faible revenu et elles sont aussi beaucoup plus susceptibles que les hommes de travailler � temps partiel. La majorit� des femmes au travail continuent d'occuper des emplois � pr�dominance f�minine. Bien que les femmes de minorit�s visibles soient plus instruites, en moyenne, que les autres Canadiennes, elles sont un peu moins susceptibles d'�tre employ�es et elles sont g�n�ralement moins r�mun�r�es que les autres travailleuses. Le taux de violence conjugale contre les femmes autochtones est plus de trois fois sup�rieur au taux de violence contre les femmes non autochtones. Source : Mich�le Asselin, pr�sidente de la FFQ, 24 septembre 2008
En amour comme � la guerre...
Y para�t qu'il y a un festival du sexisme en ce moment�? Non, c'est
un tsunami et il s�vit � l'ann�e, et les r�seaux exclusivement masculins ont plus d'un tour dans leur sac et on ne sait plus qui en fait partie et qui part du principe qu'en amour comme � la guerre, tous les coups sont permis. Il
serait plus facile de gravir l'Everest en dix minutes... et il faudrait peut-�tre commencer � responsabiliser les p�res de toutes ces jeunes filles qui mettent au monde des b�b�s qui vont d�truire une bonne partie de leur plus belle jeunesse au lieu de les accuser de ne pas avoir cherch� � obtenir de l'aide. Mais o� se cachent les hommes quand on en a besoin et en particulier ceux qui les trouvaient si irr�sistibles neuf mois auparavant�?
Intol�rance�?
Ce qui ne se remarque pas n�cessairement dans cette vid�o, c'est que parmi le lot de photographes, il n'y a qu'une femme et c'est elle qui d�range. C'est comme, possiblement, parmi les sites web montr�alais. Femmophobie et terrorisme �conomique�?
�
Femmes et Montr�alaises
Nouvelles paroles pour SI J'�TAIS UN HOMME :
Moi, si j'�tais un homme
J'plairais � Marie-�ve (*)
Et aux homos
La langue � terre...
J'aurais bien moins d'mis�re
� me faire accepter
Dans tous les milieux
Partout, tout le temps
On m'offrirai de beaux emplois
Confortables et bien payants
On m'recevrait les bras ouverts
J'aurais m�me pas � l'demander
On m'offrirait le monde entier
Sans jamais rien me demander
Mais je suis femme
Et quand on est femme
Ces choses-l� n'arrivent pas
Il faut dire
Que rien jamais ne change
M�me qu'au change
de mal en pis tout �a rempire
Les histoires ne sont que poudre aux yeux
Que vent pour les mar�es
Moi si j'�tais un homme
Je serais romantique
(*) Pr�nom fictif, f�minin par excellence�: Marie, premi�re m�re, �ve, premi�re femme... � tout le moins aux yeux du papa et de la maman, cette derni�re (...) qui donne tout m�me son propre soi. Pr�nom universel de par son abbr�viation ME (comme dans je, me, moi - me en anglais).
AU QU�BEC, ON CHASSE ENCORE ET TOUJOURS LES SORCI�RES
En 2006, une jeune fille de 16 ans accouche chez ses parents et abandonne le
b�b� dans un bois� un peu au nord de Laval. En novembre
2007, on r�duit la peine � homicide involontaire. Mais comment
se fait-il que la loi ne pr�voit pas impliquer le Saint-Esprit qui �tait
obligatoirement bien pr�sent lors de la partie de plaisir mais qui, en
ce Qu�bec o� apparemment les femmes et les hommes sont �gaux,
il d�tient le membre qu'il faut pour 1) s'attirer tous les b�n�fices
si tout va bien et 2) n'avoir aucune responsabilit� si tout va mal. Mais
cette adolescente et son b�b� se trouvaient en danger et si on
d�pense des centaines de millions pour aider les criminels, ne vaudrait-il
pas mieux d�penser pour responsabiliser et informer d�s leur jeune
�ge les gar�ons et les filles ? ... sans oublier suffisamment de
services m�dicaux pour fournir � la demande et permettre que tout
le monde ait acc�s � des soins lorsqu'ils en ont besoin. Et c'est
sans compter qu'en province, la jeune femme se fera pointer du doigt toute sa
vie, on chuchotera derri�re son dos et, en fin de compte, elle risque
de faire de la prison pour n'avoir pas appris � ne pas dire oui trop
vite � un �lan d'amour certainement pas sans cons�quences
POUR ELLE SEULEMENT.
Il y a certainement une alternative � �ternellement traiter les femmes de la mani�re la plus ignoble possible, pour des gens qui les embauchent de les exploiter sans les payer et se dire humaniste, pour des m�decins de les recevoir diff�remment si elles viennent seules ou accompagn�es de leur mari, pour de nombreux hommes de les �craser ou les �loigner comme des insectes nuisibles � leur mode de vie, de les d�visager en public comme des malpropres pour tenter de les intimider, de leur imposer toutes les formes de harc�lement possible et impossible (quand une ne marche plus on en trouve une nouvelle), etc. Peut-�tre faudrait-il inclure les femmes dans la liste des �tres dont il faudrait commencer � respecter la vie, au m�me m�me titre que les chiens. Peut-�tre que le jeune qui se perd dans la rue en se plaignant de sa m�re qui ne s'occupe pas de lui devrait-il se demander o� �tait son p�re toutes ces ann�es�et peut-�tre est-il en �ge de se demander ce qu'il pourrait bien faire pour am�liorer leur situation � tous les deux au lieu de tout faire pour l'empirer et tout faire pour lui nuire�? Certains hommes resteront-ils �ternellement des demeur�s-en-mode-recevoir malgr� leur sant� de fer qui ne devient utile que pour qu�mander, gueuler ou violenter des moins solides qu'eux�? Entre deux joints...
En date du 19 f�vrier 2008, le Conseil
du statut de la femme sur le bilan de l'application de la Loi sur l'�quit�
salariale pr�sente dans son m�moire 14 recommandations. Selon
le communiqu�, l'analyse du bilan sur l'�quit� salariale
est une occasion de rappeler que la Charte des droits et libert�s de
la personne, avec la pr�sence de l'article 19, qui exige une �galit�
de traitement pour un travail �quivalent, et de son corollaire, l'article
10, cens� prot�ger les femmes d'une discrimination selon le sexe,
n'a pas r�ussi � donner effet � l'�galit�
entre les femmes et les hommes. En 1993, le Conseil invitait le gouvernement
� adopter une loi sur l'�quit� salariale dans le but d'am�liorer
les salaires des travailleuses.
Mais comment rejoindre les femmes qui sont surexploit�es et largement
sous-pay�es dans des entreprises qui sont adul�es et qui menacent
de les mettre � la porte au moindre mouvement, ce qu'elles feront de
toute fa�on � un moment ou � un autre � moins que
la personne soit prot�g�e par une loi sur la discrimination meilleure
que celle prot�geant les femmes. La perte d'emploi en nos soci�t�s
dites civilis�es �tant devenue un peu comme la mort : on sait
que �a va se produire un jour ou l'autre mais on ne sait pas quand et
la plupart des gens essaient de retarder l'�ch�ance autant que
possible. Mais qu'arrive-t-il si on retarde l'�ch�ance au point
de se faire faire le coup quand on n'aura plus la force de se relever�?
Et o� s'en vont tous les emplois et � quel prix pour la sant�
du monde et des oc�ans�? Est-ce que tout est reli�?
| � | � | � |
Ma soeur et moi, lecture th�rapeutique
Le Y des femmes
Le Centre des Femmes de Montr�al
Analyse sur L'�galit�
entre les femmes et les hommes
Coalition Corps-Accord, sur l'obligation
de se conformer au moule de la minceur, une industrie extr�mement lucrative
selon le magazine Prot�gez-Vous
du mois de mai 2005
Comit� aviseur femmes,
la main d'oeuvre au f�minin
Comit� Femmes et d�veloppement
r�gional
L'�cole d'�t�
Femmes et D�mocratie municipale
La F�d�ration des Femmes du Qu�bec
Festival HTMlles
La Gazette des femmes
Amnistie Internationales, femmes
Institut canadien de recherches sur
les femmes (ICREF)
Marche mondiale des femmes
Qu'est-ce que
la violence faite aux femmes ?
Y'a
personne de parfait - Programme du gouvernement f�d�ral destin� aux parents qui sont chefs
de famille monoparentale, jeunes, seuls, socialement ou g�ographiquement
isol�s, et qui ont peu d�ann�es de scolarit� ou un
faible revenu. Y�a personne de parfait vise les parents les moins susceptibles
d�avoir acc�s � des ressources ou � un soutien communautaire.
Marie Victoire Du Sault (m�re du Ch�teau
Dufresne � Montr�al), l'histoire et le vote des femmes au Qu�bec,
au Canada, en France et au Royaume-Uni
En 2007, 45% des avocats au Qu�bec
sont des femmes
Trag�die de l'�cole Polytechnique de Montr�al
Quoi faire � Montr�al
- Suggestions de sorties de jour ou de soir, activit�s familiales, culturelles,
festivals, expositions, etc.
Articles en fran�ais - Magazine
�lectronique, commentaires sur des expositions, des renseignements g�n�raux
sur la ville de Montr�al, une revue des activit�s culturelles
et des nombreux festivals montr�alais
Quelques blagues ... pour nous aider � rire un peu